Exposition

L'histoire de l’esclavage s'écrit grâce à l'archéologie.

Less enfants du dispositif 10/ 13 ans (20 enfants) à la maison du peuple Guy Moquet à la Courneuve.

En France le 10 mai, on célèbre depuis 2006 la Journée commémorative de l’abolition de l’esclavage.

Depuis les années 1990, l’archéologie participe de manière importante à l’écriture de cette page sombre de l’histoire humaine en général, occidentale en particulier. "Certains évènements ont entraîné un déclic. Comme en 1995, lorsque deux cyclones ont notamment frappé la plage de l’anse Sainte-Marguerite en Guadeloupe révélant de nombreux ossements humains"

Un passé qui ne doit pas faire oublier le présent. "On estime qu’aujourd’hui, il y a 40 millions d’esclaves dans le monde"

L’ancien cimetière aux esclaves de New York

Le Brésil est le dernier pays des Amériques à avoir mis fin à l’esclavage en 1888. En 2006, une fouille a révélé un pan du passé de la ville de Rio de Janeiro en dégageant les vestiges de deux quais. Le plus vaste, appelé quai de Valongo et construit en 1811, était utilisé par les navires négriers. "Pendant trois décennies, quelque 900 000 Africains y ont transité contre leur gré. Puis, en 1843, le débarcadère aux esclaves a été remblayé et recouvert d’un quai flambant neuf." 

"Refuges temporaires"

Exemple parmi d’autres : le mont Kasigau, au sud du Kenya, où ont ainsi été mis au jour les vestiges d’une trentaine d’abris naturels fortifiés. Lesquels ont servi, au XVIIIe et le XIXe, de refuges temporaires à ceux qui fuyaient les razzias de la traite négrière sur la côte.

Petite histoire Mama Khalla.......

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